Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Côté informatique

30 avril 2009

SAP cède sous la pression de ses utilisateurs

Tarifs de maintenance : SAP cède sous la pression de ses utilisateurs

L'éditeur retarde les augmentations tarifaires de son contrat de support. Plus original : il s'engage aussi à mesurer le bénéfice réel de ce service, en collaboration avec ses clients.

Place au dialogue pragmatique. Le conflit qui oppose depuis des mois SAP à ses clients à propos de ses nouveaux tarifs de support vient de trouver une issue. Les deux parties enterrent la hache de guerre et signent un accord de paix en deux volets.

Le premier relève du geste commercial. L'éditeur ne baisse pas ses prix, mais il lisse les échéances de paiement dans le temps. Le tarif de maintenance d'Enterprise Support passera donc bien de 17 % à 22 % du prix de vente, comme prévu, mais cette augmentation sera étalée jusqu'en 2015 et non 2012. Ce qui réduit le surcoût annuel de 8 % à 3,1 %. En ces temps de crise, c'est toujours bon à prendre.

Une batterie d'indicateurs de performance

Le second volet de l'accord est autrement plus complexe. SAP et les utilisateurs – représentés par la fédération Sugen (SAP User Group Executive Network) – ont défini une batterie d'indicateurs censés mesurer la performance d'Enterprise Support. Que ce soit aux niveaux financier ou organisationnel : continuité d'activité, amélioration des processus, protection d'investissement, coût opérationnel. « SAP nous affirme que son produit a plus de valeur pour les clients. Nous voulons mesurer cette augmentation pour être certains que l'investissement supplémentaire soit justifié. SAP a décidé de relever le défi », explique Jean Leroux, président de l'USF (Utilisateurs SAP francophones).   

Ces indicateurs mesureront, par exemple, le délai de réponse du système d'information, le nombre d'incidents ou encore la stabilité des logiciels. Tous ces chiffres seront ensuite agrégés dans un index trimestriel unique, le Sugen Key Performance Indicator Index. Celui-ci sera calculé pendant quatre ans à partir des données recueillies auprès d'une centaine de clients représentatifs, sélectionnés par le Sugen. Les mesures seront effectuées par un cabinet d'analyses indépendant de type Gartner. Les premiers chiffres devraient arriver d'ici au troisième trimestre 2009.

Satisfait ou prix gelé

Ce qui est original, c'est que l'index peut avoir un impact sur le prix du support. « Nous promettons, avec Enterprise Support, une diminution du coût total de possession de 30 %. Si, au vu du Sugen KPI Index, cet objectif n'est pas atteint, nous allons geler notre augmentation tarifaire et améliorer les points non satisfaisants », explique Vincent de Poret, chargé des relations avec les utilisateurs chez SAP France.   

Pour le Sugen, cet accord est, dans l'ensemble, satisfaisant. « Bien sûr, nous aurions voulu avoir plus. Mais c'est un bon compromis. Et nous pouvons en être fiers, car il marque le début d'une relation client-fournisseur beaucoup plus proche et collaborative. C'est un accord très innovant », estime Per Höberg, vice-président du Sugen.

Certains doutes sont néanmoins permis. L'audit envisagé par SAP et ses utilisateurs est très complexe. La mise en œuvre va être difficile, et il n'est pas certain que l'index permette réellement de mesurer la performance d'Enterprise Support. Rendez-vous au troisième trimestre pour le savoir.

Article 01net

Publicité
19 mars 2009

Nec Computers et SAP livrent une solution ERP packagée pour les PME

Edition du 18/03/2009 - par Maryse Gros _ www.lemondeinformatique.fr

Baptisée « Nec Business in a Box », la solution concoctée par Nec Computers et SAP vise les PME. Elle associe une solution matérielle tout-en-un, fournie par le constructeur, et l'ERP (progiciel de gestion intégré) SAP Business All-in-One de l'éditeur allemand, livré dans sa version pré-configurée.

Deux configurations type sont proposées, pour 100 et 200 utilisateurs. Elles comprennent un serveur destiné à l'environnement de production, un serveur réservé aux procédures de développement et de test et un troisième serveur pour permettre une reprise après incident.

Hors licence SAP, la solution pour 100 utilisateurs, intégrée et testée en usine est proposée à 21 600 euros HT (incluant, préinstallé, le système d'exploitation Suse Linux Enterprise Server avec support, et la base de données MaxDB). Elle se complète d'un espace stockage partagé et de commutateurs Ethernet Gigabit redondants. La garantie associée est de trois ans sur site.

L'application ERP peut être configurée sur le Web.


19 mars 2009

IBM serait en pourparlers pour acheter Sun

Edition du 18/03/2009 - par Emmanuelle Delsol _ www.lemondeinformatique.fr

ibmSelon le Wall Street Journal qui a contacté des sources proches des deux enterprises, IBM serait en discussion pour acheter Sun Microsystems. La publication signale que l'opération pourrait être concrétisée dès cette semaine et estime à 6,5 Md$ le montant de la possible transaction. Les rumeurs d'un rachat de Sun ne sont pas nouvelles. Et qu'il s'agisse de Java, du cloud computing, des datacenters, du marché des télécoms, les raisons pour IBM d'être candidat ne manquent pas.

Sans surprise, ni IBM, ni Sun, contactés en France, ne souhaitent commenter ces rumeurs.


11 février 2009

Sécurité IT des ets financiers : Etude Deloitte

Le secteur financier est jugé trop peu sensible à la sécurité IT

securite Etude Global Security 2008 de Deloitte

Dossier à lire sur Journal du Net

Pdf publié sur le site Deloitte


13 janvier 2009

Situation de l'Open Source en entreprise

opensource_logo
Voir le dossier du Journal du Net sur l'utilisation de l'Open Source en entreprise:

clickhere


Publicité
26 décembre 2008

Le boom des notebooks

 

Les ventes de PC portables dépassent pour la première fois celles des machines de bureau

Edition du 26/12/2008 - par Vincent Delfau

Pour la première fois, le nombre de PC portables vendus dans le monde est plus important que celui des machines de bureau, explique iSuppli. Le mouvement était en marche depuis plusieurs années, avec des taux de croissance largement plus élevés pour les ventes de laptops que pour les PC fixes.
Sur un an, le volume de portables écoulés a progressé de 40%, pour atteindre 38,6 millions au troisième trimestre 2008. Dans le même temps, les PC de bureau ont vu leurs ventes reculer de 1,3%, à 38,5 millions d'unités.

Si ce constat ne constitue pas une surprise pour qui suivait l'évolution du marché des machines personnelles, il marque néanmoins une étape importante. Selon Matthew Wikins, analyste pour iSuppli, « il s'agit d'un événement majeur sur le marché des PC : l'entrée dans l'âge du portable. »

En dépit de la crise économique, les livraisons mondiales de PC, tous types de machines confondus, ont crû de 15,4% au troisième trimestre, pour atteindre 79 millions d'unités. HP est toujours en tête des constructeurs avec une part de marché de 18,8%, devant Dell (13,9% du marché). La plus belle progression est à mettre au crédit d'Acer, dont les ventes bondissent de 79% sur un an, grâce à une forte demande pour ses PC portables et ses netbooks.

En 2009, la croissance des ventes de PC devrait connaître un sérieux coup de frein : iSuppli ne table que sur une progression de 4,3%.

Le Monde Informatique



18 septembre 2008

La crise plus globale qu'on ne l'imagine

La crise financière affecte l'informatique et l'information

par Daisuke Wakabayashi et Robert MacMillan                        

Le dépôt de bilan de Lehman Brothers et le rachat de Merrill Lynch constituent deux mauvaises nouvelles de taille pour les entreprises de l'informatique et de l'information financière, déjà affectés par la réduction des dépenses chez nombre de leurs clients.                            

La disparition - sous leur forme actuelle en tout cas - de deux géants de Wall Street, grands consommateurs d'informatique de pointe, est de nature à perturber les principaux acteurs du secteur. Et ce alors même que, depuis le début de l'année, leurs clients réduisent déjà leurs budgets et retardent le passage aux nouvelles versions de logiciels ou la modernisation de leur par informatique.

Selon le cabinet d'études Financial Insights (groupe IDC), que la disparition de Lehman et le rachat de Merrill par Bank of America se traduira par une baisse de 6% des budgets informatiques (matériel et logiciels) et des dépenses dans les services associés.

"Le nombre de clients potentiels continue de rétrécir alors que les institutions elles-mêmes deviennent plus complexes", écrit Financial Insights dans un rapport.                                

Les géants technologiques américains vont probablement tous perdre des marchés, notamment Cisco pour les réseaux, EMC pour les bases de données, IBM pour les services et Microsoft pour les logiciels.

"Les firmes ont commencé à réduire leurs dépenses informatiques il y a déjà un bon moment, celles-ci sont donc déjà plutôt maigres", ajoute Ellen Carney, analyste chez Forrester Research. "Tout cela était écrit."                     

LA CRISE FAIT APPARAÎTRE DE NOUVEAUX MARCHÉS                               

Les entreprises technologiques ne sortiront donc pas indemnes de la crise. Toutefois, la recomposition du paysage financier pourrait leur offrir quelques nouveaux marchés qui permettront peut-être d'en atténuer l'impact.                               

Elles devront en effet travailler sur l'intégration des systèmes informatiques des banques qui n'ont pas eu d'autre choix que de fusionner, à l'image de BofA et Merrill. A terme cependant, une fusion se traduit toujours pas une réduction du nombre de fournisseurs.                               

Bank of America, par exemple, utilise les progiciels de l'allemand SAP, tandis que Merrill est sous contrat avec Salesforce.com pour des services similaires concernant 25.000 salariés. Salesforce a refusé de faire un commentaire sur l'impact que le rachat de Merrill et la faillite de Lehman pourraient avoir sur son activité.                        

Les analystes précisent que les dépenses du secteur financier ne vont pas pour autant se tarir, mais que les investissements dans l'amélioration du fonctionnement des systèmes informatiques devraient devenir prioritaires par rapport à l'acquisition de nouvelles machines.                               

VMware et Microsoft, deux spécialistes de la virtualisation - qui permet schématiquement de faire tourner plusieurs systèmes sur une seule machine - devraient ainsi pouvoir tirer leur épingle du jeu.                               

Les investissements devraient aussi se tourner vers les logiciels d'aide à la décision et les outils analytiques, des fonctions que les grands éditeurs tels que SAP, Oracle et Microsoft tentent d'intégrer dans les suites de progiciels qu'ils proposent.                               

"(Les sociétés de Wall Street) ont encore besoin d'investir pour rester productives", résume Sean O'Dowd, analyste de Financial Insights.                               

DES DÉBOUCHÉS RÉDUITS D'UN TIERS                               

Le fabricant de PC Dell et le distributeur informatique Ingram Micro ont néanmoins tous deux prévenu observer un ralentissement de la demande, et les analystes s'attendent à ce que d'autres avertissements suivent.                               

Cisco et IBM avaient déjà mis en garde l'an dernier contre une baisse des dépenses du secteur financier américain, avant même le rachat de Bear Stearns par JPMorgan Chase. En incluant cette fusion, les opportunités de ventes aux dix leaders du secteur financier aux États-Unis se sont réduites d'un tiers, selon Financial Sights.                               

Les fournisseurs d'informations et de données financières Thomson Reuters et Bloomberg pourraient également souffrir de la crise.                               

Merrill et Lehman figurent parmi les 25 principaux clients de la division marchés de Thomson Reuters, lesquels génèrent 13% environ du chiffre d'affaires total du groupe anglo-canadien, a précisé une porte-parole.                              

"Les investisseurs ne doivent pas en déduire que les flux de revenus vont disparaître", précise-t-elle. "Par exemple, Bank of America désire clairement maintenir la marque solide de Merrill. Et si des actifs de Lehman vont être liquidés, une partie de cette activité va perdurer."                               

Thomson Reuters a néanmoins décidé par précaution de geler certaines embauches et de réduire ses dépenses de déplacements.                               

Les experts du secteur estiment que Bloomberg ne sera pas non plus épargné par les secousses des derniers jours, mais le groupe new-yorkais non coté a refusé de faire un commentaire.                               

Version française Gilles Guillaume _ Article 01net


10 septembre 2008

Alerte phishing Paypal

Une nouvelle attaque par phishing cible les utilisateurs francophones du service de paiement en ligne Paypal. Elle se présente sous la forme d'un courrier électronique en français intitulé "Vous avez ajouté une nouvelle adresse email à votre compte PayPal ", envoyé en apparence par Paypal (centre de securite               <ServicePayPal@centredesecurite.fr>...

En savoir plus sur secuser.com

9 septembre 2008

Audit des systèmes d'information

intro_solutions_dsi_57160
  L'exposition aux risques directement liés aux systèmes d'information apparaît toujours aussi présente aux yeux des entreprises. Sécurité, audit de la fonction informatique et optimisation des processus des SI sont des problématiques au centre de toutes les attentions. Le point avec la dernière enquête annuelle du cabinet Mazars.

fleche


5 septembre 2008

Coût initial d'un PGI

58 350 euros (ht) pour le PGI d'un prestataire de services

Cette semaine, « 01net. » vous propose de commenter le devis pour la mise en place d'un progiciel de gestion intégré. Pour gérer son offre de services, une PME s'est vu demander 58 350 euros hors taxes.

Gilbert Kallenborn, 01net., le 02/09/2008 à 14h40

DETAIL FACTURATION PRIX TOTAL € HT
Licences logicielles 15 000
Assistance technique et droit d'utilisation 3 300/an
Intégration 34 000
Formation 9 350
MONTANT GLOBAL 58 350 + 3 300/an


Une SSII d'une cinquantaine de personnes a souhaité s'équiper d'un PGI pour unifier l'ensemble de ses processus de gestion. Ceux-ci étaient, jusqu'alors, tous traités par des logiciels différents : un pour la facturation, un pour le SAV et le suivi de projets, un pour la maintenance, un pour le GRC (gestion de la relation client), etc. La migration était d'autant plus urgente que certains logiciels ne bénéficiaient plus de support technique. La pérennité de l'infrastructure n'était donc plus assurée.

Trente jours-homme sur six mois

L'éditeur et intégrateur Mismo Informatique a fait une offre globale, incluant logiciels et services. Le prestataire propose, en effet, la vente et l'intégration de son propre PGI, Atheneo Com.

Le devis se divise en quatre parties. Les licences couvrent l'ensemble des modules logiciels de la solution. Le contrat d'assistance technique est couplé au droit d'utilisation. Il est donc obligatoire et se renouvelle chaque année.

L'intégration a nécessité une trentaine de jour-homme sur six mois, mobilisant un chef de projet et plusieurs consultants. Quant à la formation, elle a été réalisée sur un total de seize jours : dix jours pour un groupe d'utilisateurs, six jours pour un groupe d'administrateurs techniques.

Comme toute proposition commerciale, ce devis est une base de négociation. Nous n'avons pas tenu compte des éventuelles remises accordées par la suite.

Article
01net

haut


Publicité
1 2 > >>
Côté informatique
Publicité
Publicité